Un disque dur – sac à dos pour le Macintosh

On vous a déjà présenté des sacs pour transporter le Macintosh : c’était un classique avant qu’Apple ne crée un Macintosh Portable puis une gamme PowerBook. Mais un sac à dos pour le Macintosh lui-même, avouez que c’est plus rare. C’était l’idée du Jasmine BackPac, un subtil jeu de mot associant BackPack (le sac à dos) et le Mac. Une manière, comme le disait la publicité, de laisser derrière soi ses problèmes de stockage !

Jasmine BackPac for Macintosh hard drive

Le BackPac était donc un disque dur SCSI de 20 à 100 Mo qui s’intégrait parfaitement avec le Macintosh. Là où la plupart des autres constructeurs prévoyaient de positionner leur disque dur externe sous le Mac, Jasmine Technologies avait eu l’idée de le fixer derrière la machine. Pour l’installer, il n’y avait rien de plus simple : il suffisait de débrancher le Mac, d’ôter deux vis et la pile de sauvegarde, et de fixer le disque en tournant ses vis avec une pièce de monnaie. Le port SCSI était parfaitement positionné, tout comme l’alimentation électrique, permettant d’allumer le Mac et le disque dur d’un seul geste.

Jasmine BackPac for Macintosh hard driveGrâce à une vente actuellement proposée sur eBay, on peut apprécier de près le travail des ingénieurs de Jasmine Technologies (qui avaient même pensé aux petits logements pour les vis retirées du Macintosh), et le manque d’originalité de leur graphiste qui avait (comme d’autres avant lui) repiqué le dessin « Picasso » accompagnant le premier Macintosh. Comme Apple avait tout à la fois déplacé le port SCSI et l’interrupteur et fait disparaître la pile de sauvegarde en passant du Macintosh Plus au Macintosh SE, on remarquera que Jasmine Technologies avait adapté son boîtier lors du changement de modèle…

Jasmine BackPac for Macintosh hard drive

Jasmine BackPac for Macintosh hard drive

Une brève histoire de QuickTime

Dès que les processeurs de nos Macs ont été suffisamment puissants pour traiter des images animées, Apple a travaillé à la mise au point d’une technologie capable d’harmoniser la gestion des vidéos, comme elle l’avait fait avec le premier Macintosh pour la gestion du texte et des images : copier-coller entre applications, affichage identique sur tous les Macs, ressource disponible pour toutes les applications, etc. C’est ainsi que QuickTime naît en décembre 1991, disponible gratuitement chez tous les revendeurs, uniquement pour Mac dans un premier temps. Cette technologie est intégrée au plus profond du système Mac OS, et rendue disponible pour tous les logiciels qui y sont développés.

QuickTime 1991

Une version Windows apparaît en 1993, en mode « lecture seule », sans possibilité d’édition. L’année suivante, QuickTime 2.0 intègre la technologie MIDI et les instruments virtuels. Puis vient QuickTime VR, en 1996, avec son rendu de scènes à 360 degrés. La version 3.0, en 1998, amène des capacités d’interactivité et d’animation. L’année suivante, la version 4.0 apporte une nouvelle interface en aluminium brossé, et la capacité de diffuser des vidéos en direct sur internet : on parle du « streaming », notion popularisée par Real.

QuickTime 1999

La version 5.0, en 2001, marque une amélioration des performances, notamment l’édition de flux DV en temps réel. La version 6.0, en 2002, s’adapte à l’interface de Mac OS X et marque l’avènement du format MPEG-4, qui restera la référence jusqu’à l’arrivée du H.264 dans QuickTime 7.0, en 2005.

QuickTime 2002

En 2009, avec Mac OS X 10.6 « Snow Leopard », Apple lance QuickTime X, une version totalement revue de son moteur qui devient pleinement adapté aux processeurs 64-bits et multi-cœurs, grâce à un développement en Cocoa (QuickTime 7 est conservé en parallèle pour assurer la compatibilité des anciennes applications). L’interface du logiciel se fait toute discrète, presque effacée, comme pour mieux mettre en valeur la seule chose qui compte vraiment : la vidéo !

QuickTime X 2009

Prendre soin de son Macintosh… en 1989

Aujourd’hui, nous exhumons de nos archives une petite brochure de 1989, intitulée « Comment prendre soin de son ordinateur – sept astuces ».

Take care of Apple Macintosh Computer

Et c’est parti pour le voyage dans le temps. Contrairement à l’exemple qu’Apple donnait elle-même dans ses publicités, le Macintosh avait besoin de respirer : il fallait l’installer sur une table, à l’abri du soleil et de l’humidité, en laissant quelques centimètres autour de lui pour permettre à la ventilation de refroidir la machine. Il fallait aussi penser à n’installer qu’un seul Dossier Système par disque, au risque sinon de provoquer des erreurs et des pertes de données.

Take care of Apple Macintosh Computer

Pour éviter les virus (parce qu’il y en a sur Macintosh ?), Apple vous recommandait de verrouiller en écriture vos disquettes, grâce à la glissière de protection conçue à cette fin. Il fallait aussi éviter d’écrire au stylo à bille sur l’étiquette, pour ne pas détériorer la surface magnétique située dans la disquette.

Take care of Apple Macintosh Computer

La surcharge de courant consécutive à l’allumage de la machine pouvait, à la longue, dégrader certains composants. Apple recommandait donc de limiter le nombre de redémarrage dans la journée. Une recommandation pas très écologique, à une époque où la veille n’existait pas réellement, en-dehors de l’extinction de l’écran. Quant à la souris, il fallait la nettoyer chaque mois. Un coup d’alcool sur les rouleaux en contact avec la bille, et c’était reparti pour un tour.

Take care of Apple Macintosh Computer

Enfin, plus important encore : Apple recommandait (déjà à l’époque) de s’inscrire à la garantie AppleCare, pour prendre en charge les réparations au-delà de la période légale de garantie.

Take care of Apple Macintosh Computer

Apple vantait le coût modique de cette garantie, prise en charge par 2000 revendeurs agréés aux États-Unis. La marque proposait même de démarrer cette garantie bien après l’achat, sous réserve d’une inspection préalable.

Take care of Apple Macintosh Computer

Apple comparait alors le coût des réparations avec celui de la garantie. Une seule réparation coûtait généralement plus cher que l’AppleCare : alors qu’une réparation de Macintosh Plus coûtait en moyenne 464 dollars, l’AppleCare pour cette machine était proposée à 162 dollars. Pour un disque dur Hard Disk 40SC, le rapport était encore plus favorable : 710 dollars contre 96. Et le prix était dégressif selon le nombre de produits garantis !

Take care of Apple Macintosh Computer

Pour payer cette garantie, il était possible d’utiliser son Apple Credit Card (dont nous avons déjà parlé ici, à ne pas confondre avec l’Apple Card de 2019), ou régler en cash ou en carte bancaire.

Take care of Apple Macintosh Computer

Une brochure pour l’Apple III

Aujourd’hui, nous vous présentons une brochure éditée en octobre 1981 pour vanter les mérites de l’Apple III. Une machine sur laquelle Apple avait fondé de grands espoirs, puisqu’elle devait prendre la relève de l’Apple II présenté en juin 1977 et amélioré en juin 1979.

Apple III brochure 1981

Dès la couverture de cette brochure, on était fixés sur le design novateur de cette machine. Le clavier était positionné plus bas que sur l’Apple II, dégageant de l’espace pour positionner un lecteur de disquettes intégré en façade de l’ordinateur. Le clavier faisait cependant partie intégrante de la machine (le Lisa sera le premier ordinateur Apple à proposer un clavier séparé).

Apple III brochure 1981

Dans les pages intérieures, Apple cherchait à convaincre ses lecteurs de la nécessité d’utiliser un Apple III pour faire face à un monde où tout passe de plus en plus vite : les idées, les opportunités, et le temps pour prendre des décisions. L’Apple III y était décrit comme un ordinateur pour les professionnels, les manageurs, les entrepreneurs, les administrateurs. En effet, à l’époque, Apple voulait maintenir une gamme Apple II pour le grand-public.

Apple III brochure 1981

L’Apple III y était décrit comme un ordinateur compact, bien que ceux qui en conservent un dans leur garage n’auraient pas précisément utilisé ce terme-là pour décrire une machine de 12 kilogrammes et 45 centimètres de côté… Il est vrai cependant que l’Apple III offrait en interne certaines fonctions bien pratiques, comme un port dédié à l’imprimante Silentype, un port série pour connecter un modem, un port vidéo double résolution (24 lignes de 80 caractères), ou encore un port permettant de chaîner trois lecteurs de disquettes externes.

Apple III brochure 1981

On apprend dans cette brochure que l’Apple III respectait la nouvelle norme IEEE relative aux calculs en virgule flottante sur 32 bits, responsable aussi bien du calcul des arrondis que de la gestion des erreurs comme la division par zéro (peut-être s’agissait-il d’une pré-version de la norme IEE 754 finalisée en 1985 ?).

Apple III brochure 1981

L’écran conçu pour l’Apple III (une première pour la marque) disposait d’un film anti-reflet, lui donnant une drôle de finition mate et légèrement texturée. Bien entendu, l’Apple III se mariait parfaitement au disque dur externe ProFile de 5 Mo, qui sera recyclé deux ans plus tard pour le Lisa

Apple III brochure 1981

La mission Handicaps d’Apple France (1997)

Nous poursuivons notre exploration de brochures spécifiques à Apple France, avec ce très rare document sur la « Mission Handicaps » de la marque. Ce groupe, intégré au département santé, avait pour but de promouvoir l’idée que l’utilisation des ordinateurs Apple par les personnes handicapées, quelles que soient leurs déficiences, était source d’amélioration de la qualité de vie, d’insertion professionnelle ou scolaire, et de contrôle de son environnement. On y apprenait ainsi que la marque avait créé dès 1985 son premier département dédié aux solutions pour les personnes handicapées.

Et il est vrai qu’en cette année 1997, le Macintosh disposait déjà de sérieux atouts pour faciliter son usage par des personnes atteintes de différents handicaps : le tableau de bord CloseView permettait de zoomer en permanence sur une partie de l’écran (en suivant le curseur de la souris) et au besoin d’inverser les couleurs, tandis que Easy Access simplifiait le déplacement de la souris avec le clavier (Mouse House), permettait d’éviter des frappes involontaires au clavier (Slow Keys), et autorisait à décomposer les raccourcis claviers en plusieurs appuis consécutifs (Sticky Keys).

La brochure s’ouvrait sur un témoignage de Marie-Christine Agon, psycho-sociologue et elle-même atteinte d’un sévère handicap physique : « Grâce à l’ordinateur, j’ai pu conserver mon emploi et ma vie a été agréablement bouleversée par ma réussite professionnelle. Mon intégration sociale et l’autonomie acquise à mon poste de travail ont été facilitées par l’outil informatique et les périphériques d’accès qui pallient à mon handicap physique évolutif ». Mme Agon est décédée en 2007, non sans avoir poursuivi son œuvre en faveur des personnes handicapées.

Apple France brochure Mission Handicaps 1997

Au verso, la brochure  proposait plusieurs contacts destinés à venir en aide aux personnes souffrant de différents types de handicaps : physiques, visuels, ou de communication. Ces associations et instituts étaient à même de proposer des périphériques et logiciels adaptés à chacun de ces « utilisateurs extraordinaires », auxquels Apple réservait un espace dédié lors de l’Apple Expo annuelle à Paris. Catherine Papouin, contact pour cette thématique, a passé vingt-deux ans chez Apple d’après sa fiche Linkedin et a poursuivi ensuite son engagement sous d’autres formes.

Apple France brochure Mission Handicaps 1997

Publicité : Inside Apple et les périphériques de l’Apple II

Le dimanche, c’est publicité en anglais ! Cette semaine, voici une double page d’avril 1983, parue dans la série des « Inside Apple » que la marque affectionnait à l’époque : des double-pages qui prenaient la forme de publi-information, comme on dirait maintenant. Dans celle-ci, il est question des logiciels et périphériques qui permettent à l’Apple II de 1978 de rester compétitif face à l’IBM PC de 1984 : imprimantes Apple Letter Quality Printer, Apple Dot Matrix Printer et Silentype, joystick II, Apple Hand Controller II, disque dur de 5 Mo Apple ProFile, et pavé numérique Apple Numeric Keypad II.

Inside Apple Avril 1983

La rallonge USB-incompatible chez Apple

Avez-vous déjà regardé de près la fiche USB qui permet de brancher votre clavier Apple à votre Mac ? Depuis le lancement de son premier clavier USB, avec l’iMac de 1998, la marque utilise une fiche USB Type-A mâle particulière, déformée par une encoche sur le cadre métallique. Celle-ci s’insère parfaitement dans les prises USB femelle des Macs, des hubs USB ou encore des PC du marché.

Apple special USB extension for keyboard
Un câble de clavier Apple à gauche ; un câble d’iPod à droite

Cette petite particularité visait à répondre à une limite de la norme USB, qui interdisait de commercialiser des rallonges USB. Or Apple fournissait ses claviers avec un câble non-amovible, et plutôt court. Elle avait donc cherché une manière de contourner l’interdiction de créer une rallonge, et elle avait imaginé cette extension de câble. En modifiant la forme de sa prise, Apple créait sa propre prise intermédiaire, officiellement différente des standards prévus pour l’USB. Il ne s’agissait pas d’une rallonge USB, puisque sa prise femelle, affublée d’un ergot faisant saillie, n’était par compatible avec les périphériques USB classiques. Elle n’affichait d’ailleurs pas le logo officiel de la norme de ce côté-là. En résumé : c’était une partie du câble du clavier, et elle n’était destinée à aucune autre utilisation.

Apple special USB extension for keyboard
À droite, la fiche mâle compatible USB. À gauche, la fiche femelle spécifique, sans logo.

En pratique, peu d’utilisateurs étaient conscients de cette interdiction de commercialiser des rallonges USB. On trouvait en effet de nombreuses rallonges USB créées par des fabricants moins scrupuleux qu’Apple. Faute de connaître ce détail, les clients ne trouvaient pas d’explication à cette coquetterie : les claviers Apple étaient compatibles avec l’USB ; les Macs étaient compatibles avec l’USB ; seule cette rallonge se tenait à l’écart de la norme. Que pouvait bien y gagner Apple, à part ennuyer le monde ? Maintenant, vous, au moins, vous connaissez l’explication !

Apple special USB extension for keyboard

Notez qu’on lit parfois que cette modification est liée à la possibilité qu’avaient les Macs de fournir plus de courant à certains périphériques USB, comme le SuperDrive externe, l’iPhone, l’iPod ou le clavier Apple en aluminium. En réalité, si cette possibilité existe bien, elle n’a rien à voir avec la forme du connecteur, ces différents périphériques ayant toujours été livrés avec un câble USB classique.

Apple special USB extension for keyboard
Les câbles du clavier et de la souris USB de l’iMac. Saurez-vous les reconnaître ?

Tiens, d’ailleurs, si vous vous posez la question : le hub incorporé dans les claviers Apple, qui permet de brancher deux autres périphériques directement sur le clavier, était en USB 1.1 à l’origine. Il est passé à l’USB 2 à partir du modèle en aluminium de 2007.

[edit : le Journal du Lapin propose sa lecture du sujet, dans cet article du 11 décembre 2018]

Un Apple IIe transparent

Vous vous souvenez de ces boîtiers transparents pour Macintosh SE, produits par MacEffects au travers d’un projet Kickstarter ? Eh bien sachez que les mêmes doux-dingues proposent un boîtier transparent pour l’Apple IIe (et tout le nécessaire pour y faire tenir un Apple IIGS, pour les amateurs du kit IIGS Stealth).

Si vous avez plein de sous et que vous ne savez pas quoi en faire, vous pouvez actuellement vous offrir sur eBay le premier prototype moulé par l’équipe de MacEffects. Pour la modique somme de 1800 dollars (soit seulement 1500 euros), vous aurez le plaisir de disposer d’une pièce unique, avec son clavier transparent correspondant à un autre projet Kickstarter.

 

Une brochure pour les Apple Studio Display

Hier, nous discutions de ce qui ressemblait à un écran Apple Studio Display dans une brochure de… 1987 ! Alors pour ceux qui auraient oublié à quoi ressemblait cette gamme — la première famille d’écrans plats ! —, voici une brochure de 2001 à ce sujet. On rappellera que le modèle de 22 pouces, dénommé Apple Cinema Display,  coûtait tout de même 3999 dollars à sa sortie…

Brochure Apple Studio Display

Brochure Apple Studio Display

Brochure Apple Studio Display

 

Publicité : Pas de grattage, pas de tirage

Le dimanche, c’est publicité ! Cette semaine, voici une publicité publiée conçue par CLM/BBDO pour Apple France en avril 1997. Cet exemplaire est issu d’un grand quotidien national, d’où sa jolie couleur de papier recyclé. Pour l’achat d’un Performa accompagné d’une imprimante jet d’encre StyleWriter 1500 ou 2500, Apple remboursait 1300 francs à ses clients, comme Géraldine Crisnay, qui était à l’époque Junior Art Director chez CLM/BBDO. D’après cette réclame, les clients étaient gagnants à tous les coups : pas de grattage, pas de tirage

Publicité Apple 1997 : pas de grattage, pas de tirage

En 1997, Apple utilisait son slogan « Give your dreams a chance », comme dans cette publicité sur l’avion-boomerang. Un lecteur attentif pourra-t-il nous expliquer pourquoi la traduction du slogan, « Donnez une chance à vos rêves », porte le copyright de Disney en note de bas de page ?

La MacTable, la vraie !

Quand on voit le prix qu’Apple s’autorise à fixer pour une chiffonnette ou un pied d’écran, on n’imagine même pas ce qu’elle demanderait si elle fabriquait elle-même des tables pour ses ordinateurs (on me signale dans le fond que les tables des Apple Stores sont estimées entre 10 et 30.000 dollars pièce, ça donne une indication).

Du milieu des années 80 au milieu des années 90, on pouvait trouver des tables dédiées au Macintosh et fort logiquement dénommées « MacTable », mais ce n’était heureusement pas Apple qui les fabriquait, c’était l’entreprise ScanCo. Une première référence était apparue en 1986, spécialement pour le petit Mac tout-en-un. La machine était retenue penchée en arrière (pour bien se casser le cou sans doute) et il y avait de la place pour des périphériques et même pour une ramette de feuilles perforées pour l’ImageWriter.

La MacTable de ScanCo en 1986

En 1988, une deuxième référence était apparue, plus adaptée au nouveau Macintosh II et à l’imprimante LaserWriter.

La MacTable de ScanCo en 1988

Vers 1993-1994, on trouvait encore toute une gamme de la marque : PowerTable en 29 ou 38 pouces (299 à 349 dollars), MacTable en 46 ou 58 pouces (349 à 379 dollars).

La présentation du Macintosh par SEEDRIN (4)

Ce matin, nous vous présentons une brochure spécifique à la France, éditée par SEEDRIN, la filiale française d’Apple. Elle fait partie d’une série de brochures A4 recto-verso publiées à l’occasion de la sortie du Macintosh, pour présenter cet ordinateur, son système, son matériel et ses logiciels. Elles vont nous accompagner quelques jours… Après le matérielle Système, puis les extensions et la compatibilité, voici MacWrite. La suite demain !

Brochure Macintosh SEEDRIN : MacWrite

Brochure Macintosh SEEDRIN : MacWrite

[edit] La série complète : le matérielle Systèmeles extensions et la compatibilitéMacWriteMacPaintles outils de développementMicrosoft Multiplan et Charts.