Un prototype d’iPad sur eBay

On trouve actuellement sur eBay, et pour encore deux jours, ce qui est présenté comme un prototype d’iPad. L’interface utilisateur est réduite à sa plus simple expression, avec quelques modules de test, dont le vendeur précise que plusieurs ne sont même pas vraiment opérationnels.

On trouve par exemple cette première version du bouton « Glissez pour déverrouiller » :

Méfiance tout de même. On trouve sur eBay de nombreux « prototypes d’iPhone » qui ne sont que des versions originales du téléphone, équipées d’un système de développement interne, qui s’est retrouvé dans la nature…

Quant au dos vierge de toute inscription, il peut aussi s’agir d’une pièce détachée de remplacement comme on en trouve facilement. Libre à vous de vous faire un avis !

Un Studio Display, en 1987 (votez !)

Amusante, cette brochure éditée par Apple Japon en 1987. On y voit un Macintosh SE sagement posé sur un bureau. Au fond de la pièce,un simple cadre noir à bords blancs posé au sol. Suis-je le seul à y voir comme une préfiguration de l’écran Studio Display, qui ne sera pourtant présenté que 12 ans plus tard ?

Macintosh SE et Cinema Display

Et vous, que pensez-vous de cette image ?

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Bon anniversaire, Nike+iPod !

Le 13 juillet 2006, Apple commercialisait un petit accessoire en partenariat avec Nike, une forme de co-branding plutôt inhabituelle pour la marque (qui ne se gêne pas, à l’inverse, pour rebadger des produits concurrents sous sa propre bannière). Le traqueur Nike + iPod se présentait sous la forme d’une capsule ovale destinée à prendre place dans une chaussure : certains modèles Nike étaient équipés d’un emplacement dédié ; pour les autres chaussures, il fallait se débrouiller. Équipé d’un petite batterie (non rechargeable et non remplaçable…), il dialoguait avec un récepteur fixé à l’iPod par la prise Dock, ou directement avec certains modèles d’iPods ou d’iPhones pré-équipés du récepteur en interne.

Nike + iPod box

Une fois équipé, le sportif pouvait visualiser ses temps et distances de parcours, le nombre de pas et de calories, dans une application dédiée sur l’iPod, également chargée d’annoncer les étapes de la course, selon les réglages fixés par l’utilisateur. Ce capteur n’étant pas basé sur les signaux GPS mais uniquement sur un signal piézoélectrique, une calibration sur cent mètres était nécessaire pour obtenir les meilleurs résultats…

Nous avons déjà parlé de la boîte de ce kit, dans un précédent article remarquant son réemploi pour d’autres produits plus récents de la marque.

Le DogCow n’a pas été oublié

Nous avons déjà parlé de Clarus le Dogcow sur ce blog. Il s’agit de ce drôle d’animal, mi-chien mi-vache, apparu sur le Macintosh à l’occasion de la modification un peu hâtive d’une icône de chien. L’icône de base avait été créée par Susan Kare, créatrice d’une grande partie des icônes et des polices du premier Mac. Devenu une véritable star auprès des développeurs d’Apple, le Dogcow fait régulièrement des apparitions dans le monde du Macintosh. Un petit site personnel, le Moof Museum, retrace ces apparitions successives, depuis le dialogue d’impression de la LaserWriter en 1986 jusqu’au Jardin des Icônes de l’ancien siège d’Apple à Cupertino.

Clarus, Apple Icon Garden, Cupertino
Image : 512pixels.net

Même si Steve Jobs a fait disparaître ce Jardin des Icônes peu après son retour aux affaires, le souvenir de Clarus ne s’est jamais vraiment éteint. La preuve avec son apparition la plus récente. En 2014, quand Apple documente son nouveau langage de programmation Swift, l’un des rédacteurs du chapitre dédié aux variables utilise un exemple très parlant pour expliquer comment les variables peuvent s’écrire avec n’importe quel caractère unicode, y compris des émoticones :

 

Clarus dogcow SwiftCe n’est pas le seul clin d’œil au passé repéré dans l’univers de Swift. L’une des icônes utilisées par les projets créés avec ce langage rend un discret hommage à la publicité « Think Different » de 1997, en citant quelques extraits du texte « Here’s to the crazy ones ». Nous vous en avions parlé en septembre dernier dans cet article.

Comprendre OpenDoc en vidéo

Nous avons déjà touché quelques mots d’OpenDoc, cette technologie logicielle qui devait révolutionner la manière de concevoir les systèmes d’exploitation, les logiciels et les documents, en s’appuyant sur un système de « briques logicielles » indépendantes les unes des autres, appelées par chaque document selon son contenu. Nous avions notamment reproduit un extrait de mode d’emploi pas si simple, discuté du navigateur Cyberdog basé sur cette technologie, et surtout rappelé l’enterrement de première classe que Steve Jobs lui avait réservé à son retour.

OpenDoc CD Interactive Tour Apple

Aujourd’hui, nous vous présentons une vidéo extraite du CD de présentation d’OpenDoc et de CyberDog, distribué par Apple en 1996. Par quelques vidéos et quelques fiches techniques, Apple permettait à ses développeurs de découvrir cette technologie et de se préparer à la transition importante qu’elle représenterait pour eux.

OpenDoc CD Interactive Tour Apple

Place à cette vidéo qui vous éclairera un peu — en anglais cependant – sur ce qui aurait pu être l’avenir de Mac OS si d’aventure Apple n’avait pas racheté NeXT et si Steve Jobs n’avait pas présidé aux destinées de ce qui deviendra Mac OS X.

La naissance d’Apple France, par Jean-Louis Gassée

Dans un article qu’il a publié sur le blog MondayNote (en anglais) il y a quelques jours, Jean-Louis Gassée est revenu sur les origines d’Apple France. Celui qui fut un temps à la tête de la branche mondiale Apple Produits, en charge de la recherche et du développement, se livre pour la première fois sur les circonstances qui l’ont mené à créer et diriger la filiale française d’Apple.

Jean-Louis Gassée dans Apple Magazine

À l’automne 1980, Jean-Louis Gassée travaille pour l’analyste Gartner. En remerciement de ses bons et loyaux services, son responsable lui propose d’investir dans le capital qu’Apple s’apprête alors à ouvrir au public, mais il refuse. Surpris de ce refus, ce même responsable lui confie alors qu’un de ses amis, qui n’est autre que le président d’Apple Europe, Tom Lawrence, cherche quelqu’un pour lancer la branche française de la société. Jean-Louis Gassée saute sur l’occasion, et rencontre rapidement Lawrence. Le contrat est signé le 12 décembre 1980. Hasard du calendrier, c’est le jour de l’introduction en bourse d’Apple…

Jean-Louis Gassée se souvient qu’à l’époque, peu de gens croyaient vraiment en l’avenir commercial d’Apple. Les grands fabricants de l’époque regardaient en souriant cette petite entreprise qui ne disposait d’aucun outil sérieux : pas de système CP/M, pas de disquettes 8 pouces, et un écran limité à 40 caractères par ligne ! Pourtant, il se lance dans l’aventure avec quelques hommes de confiance rencontrés dans ses responsabilités précédentes : Gille Mouchonnet, son directeur financier chez Data General et chez Exxon ; Michel Delong, expert en logistique chez HP ; et Jean Calmon, directeur des ventes chez IBM.

Habitué aux grandes structures, Jean-Louis Gassée s’envole rapidement pour San Francisco, afin de se rendre à la maison-mère à Cupertino. Il espère bénéficier d’un programme de stage, ou d’un cursus de découverte, mais rien de tel. Pas même un Apple II disponible pour essayer en vrai cette machine dont il avait étudié la documentation technique, et remarqué l’élégante simplicité. Il lui faudra finalement emprunter la machine d’un employé et l’emmener à son hôtel ! Après avoir posé l’ordinateur sur le lit de la seule chambre disponible (la suite nuptiale…), son premier coup de cœur est pour VisiCalc. Lui qui avait déjà un peu programmé, remarque tout de suite la qualité de l’affichage et l’utilisation des formules. Une perfection qui le subjugue à tel point que, perdu dans ses pensées le lendemain, il brûle un stop et se fait arrêter. Pensant bien faire, il sort du véhicule, les mains ouvertes le long du corps en signe d’apaisement. Échappant de peu au tir sans sommation qui attend habituellement les citoyens américains oubliant de mettre les mains en l’air, il ne devra finalement l’indulgence du policier qu’à l’amusement de celui-ci devant le visage d’adolescent de sa photo de permis de conduire.

Arrivé au Bandley 3, sur le Bandley Drive, il rencontre pour la première fois Steve Jobs, en train de se curer les ongles de pieds. Voilà ! se dit-il, adieu les carcans rigides, je suis arrivé chez les geeks déséquilibrés… avant de subir un discours plutôt convenu sur le thème de « Nous sommes notre propre ennemi »… Puis vient le moment de visiter les entrepôts de la marque. Jean-Louis Gassée découvre alors qu’Apple vend plus de traitements de texte en un mois, que tout le reste de l’industrie en un an ! [rappelons qu’à l’époque, les traitements de texte se vendaient sur des disquettes, dans des boîtes en papier cartonné transportées par palettes…]

Pas de doute, il avait pris la bonne décision.

De retour en France, Jean-Louis Gassée s’attache à mettre en place un système de distribution tout aussi fluide. Mais c’était compter sans le gouvernement français et sa Direction du Trésor, chargée de protéger l’industrie informatique française, son TO7 et son R2E Micral, contre leurs concurrents américains. La firme a alors l’idée de profiter du marché commun (l’ancêtre de l’Union Européenne), et fait transiter ses ordinateurs par les Pays-Bas, nation plus conciliante avec le commerce international. Un petit arrangement avec la réglementation, traditionnellement plutôt prévu pour le commerce des fruits et légumes. Jean-Louis Gassée crée alors SEEDRIN (les trois dernières lettres de son nom, les quatre dernières lettres du nom de sa rue), qui obtient l’exclusivité de la distribution des produits Apple en France, en provenance d’un entrepôt situé aux Pays-Bas. SEEDRIN, avec seulement 20 000 francs de capital, n’est donc jamais propriétaire du stock, elle n’est qu’un intermédiaire payé à la commission !

Il ne restait plus qu’à trouver des locaux, ce qui fut fait avec une location de bureaux délaissés par la compagnie pharmaceutique Choay, dont le PDG apprécia le tour de passe-passe de SEEDRIN, et offrit les meubles gracieusement ! Un petit accord avec Sonotec, précédemment en charge de la distribution des produits Apple en France, et le tour était joué.

Merci Sylvain !

Gérer les cookies dans Internet Explorer 5 sur Mac

Tout n’est pas bon dans les cookies, ces petits éléments stockés sur votre disque dur par les sites web que vous visitez. Identifiants, coordonnées, préférences, tout peut être stocké, pour vous simplifier la vie (enregistrer vos réglages par exemple) ou vous suivre à la trace (achats, pages visitées…).

Les deux grands navigateurs que sont Internet Explorer et Safari vous permettent de savoir ce qui est gardé en mémoire sur votre ordinateur, et au besoin de supprimer les éléments indésirables. Dans la fenêtre de Préférences, cliquez sur « Cookies » (IE) ou sur « Sécurité » puis « Afficher les cookies » (Safari). Si la liste qui apparaît semble au premier abord pour le moins obscure, vous comprendrez vite le fonctionnement : les cookies sont affichés selon le site qui les a créés, et disposent chacun d’un nom.

Cookies on Macintosh Internet Explorer 5 Macintosh

À chaque visite, le site en question demande à l’ordinateur le contenu ou la valeur de ce cookie, et peut également la modifier. Cette valeur peut être affichée, mais elle est généralement cryptée ou chiffrée pour des raisons de sécurité. Vous repérerez également rapidement qu’une grande partie des cookies ne viennent pas des sites que vous fréquentez habituellement, mais de régies publicitaires. Ceux-là, vous pouvez vous en débarrasser sans crainte, en les sélectionnant avant de cliquer sur « Supprimer ». N’effacez pas les cookies des sites que vous utilisez habituellement, au risque de devoir entrer à nouveau tous vos réglages !

Cette astuce a été publiée en 2003 dans la revue A Vos Mac.

D’autres pommes tordues…

Dans un précédent article de notre blog, nous vous présentions quelques logos Apple salement amochés, non pas par le temps, mais par leur reproduction approximative par des imprimeurs, des graveurs ou des designers. Depuis, nous en avons trouvé d’autres…

Voici par exemple la couverture d’un livre édité par Addison-Wesley en 1982. L’entreprise, qui deviendra peu après l’éditeur officiel d’Apple, n’avait visiblement pas encore pris le temps d’intégrer la pomme dans sa banque d’images au moment d’imprimer ce catalogue de logiciels pour Apple II.

Un autre exemple avec le cordon d’alimentation de cette imprimante Silentype, produite par Apple en 1980. Là encore, le sous-traitant n’avait pas été très regardant avec les proportions du logo, réduisant la pomme à un minuscule appendice. Cette imprimante est en vente sur eBay (et elle n’est pas donnée…).

Apple Silentype Power Cord 1980

Sur eBay, on croise aussi ce badge dont quelque chose nous dit qu’il n’a pas tout à fait été validé par le service communication d’Apple (quoi que, on a déjà croisé un sac d’Apple II sur lequel la pomme n’avait pas été croquée).

Mention spéciale pour ce sac à dos actuellement en vente sur eBay, qui réussit l’exploit de rater à la fois la pomme brodée et celles moulées sur les glissières…

Image : eBay

Les slogans abandonnés par Apple

Vous connaissez forcément le slogan « Think Different » adopté par Apple de 1997 à 2002. Vous connaissez peut-être aussi « Give your dreams a chance » utilisé juste avant. Mais savez-vous qu’Apple a également déposé de nombreux autres slogans au fil du temps, parfois sans même les utiliser ?

Ainsi, l’office américain des brevets a conservé les traces de quelques idées de la marque. En août 1996, à l’époque des Performa 5400 et 6400, Apple dépose « You, a Mac, the World », littéralement « Vous, un Mac, le Monde ». C’était l’époque où la marque se cherchait, ayant connu plusieurs échecs dans la conception de ses nouveaux système Pink puis Copland, et voyant sa part de marcher reculer face au rouleau-compresseur Windows 95 de Microsoft. Le slogan ne sera utilisé que sur une publicité et pour quelques accessoires vestimentaires, comme des t-shirts et des badges, avec des petits dessins rappelant la simplicité du logo Picasso associé au Macintosh. Apple abandonnera ses droits sur la marque dès l’année suivante.

Image : eBay

Difficile de ne pas faire le rapprochement avec la boîte de Mac OS 8.5. Vous, un Mac, le Monde, tout y est sur cette grosse boîte cartonnée qui nous rappelle qu’avant de télécharger gratuitement les systèmes d’Apple sur Internet, on allait les acheter dans les rayons de la Fnac…

Dans le même temps, elle dépose le slogan « Expect the impossible », Attendez-vous à l’impossible, qu’elle ne conservera que cinq mois dans son escarcelle. Il n’était destiné qu’à accompagner la sortie du film Mission Impossible, le premier de la série. Là encore, on n’en trouve trace que sur des t-shirts distribués par la marque en 1996.

Image : eBay

Si on remonte dans le temps, on peut trouver un slogan dédié au Macintosh : « Wheels for the mind », qu’on traduirait par « De l’énergie pour l’esprit », sans pouvoir rendre la finesse de la version originale, où wheel ne désigne pas seulement la roue, mais aussi le gouvernail, les pirouettes, et même une forme conjuguée des verbes diriger ou pousser. Celui-là, Apple s’y est accroché plus longtemps, de 1986 à 2007 pour être précis, bien qu’on n’en trouve de trace officielle qu’au tout début de la période, dans le cadre du programme universitaire de la marque, comme sur cette brochure éditée par l’université de Boston en 1987. Il était lui aussi accompagné d’un logo dans le style du logo Picasso du Macintosh.

Image : eBay

De 1998 à 2012, Wheels for the Mind a été réutilisé par l’AUC, le consortium universitaire d’Apple Australie comme titre de son journal. Depuis, la marque s’est séparée de ce consortium qui a poursuivi son activité sous forme associative.

D’autres autocollants Apple

Dans la collection de l’Aventure Apple, nous disposons d’une petite planche d’autocollants Apple, dont nous ignorons l’origine exacte. Le site d’enchères de Yahoo Japon en propose un autre exemplaire actuellement, accompagné d’une autre planche de petits autocollants, parmi lesquels des logos Apple colorés, mais aussi le logo MacOS et l’icône du Macintosh souriant.

Autocollants Apple
Image : Yahoo Japon

Et puisque l’on parle de petits autocollants, vous pouvez aussi trouver sur eBay une planche d’autocollants sur laquelle les logos Apple sont marqués du nombre 16. Il s’agit d’autocollants destinés à distinguer les disquettes formatées par les premiers lecteurs Disk II d’Apple (1978), limitées à 13 secteurs de 256 octets par piste, et celles enregistrées avec les générations produites à partir de 1980, montant à 16 secteurs par piste (une piste correspond à un tour complet de la disquette). Grâce à cette innovation, rendue possible par une simple évolution du système d’exploitation et à une mise à jour de la ROM pilotant le lecteur, une disquette 5″1/4 passait de 113,75 à 140 Ko. Elle devenait évidemment incompatible avec la première génération de lecteurs, d’où l’intérêt de cet autocollant.

Autocollants Apple 16 secteurs
Image : eBay

Liens : le site de Fabrice Montupet ; Wikipedia ; Google Books

1985 : Alps achète l’usine de souris d’Apple

Connaissez-vous Alps, cette société japonaise spécialisée dans l’équipement électronique de précision, les potentiomètres, les capteurs et interrupteurs, ou encore les surfaces tactiles ? Ce fabricant est encore aujourd’hui l’un des fournisseurs de pièces d’Apple, comme l’indique ce relevé de février 2018.

Alps Logo

En août 1985, alors qu’Apple cherche à réduire ses coûts de production et à se concentrer sur la recherche et le développement, elle décide de se séparer de son usine en charge des claviers et souris pour le Macintosh et les Apple II. Elle vend donc son usine de Garden Grove (Californie) à Alps Electric USA, qui était déjà le fournisseur d’une partie des pièces assemblées dans cette usine. Alps Electric USA acquiert ainsi sa première usine sur le sol américain. Cette acquisition était estimée à l’époque à cinq millions de dollars. Un article de ComputerWorld aborde cette acquisition le 2 septembre 1985.

Apple plat sold to Alps Electric 1985

La boucle était ainsi bouclée : la division « Accessory Products Group » d’Apple, issue du rachat par celle-ci de l’entreprise « The Keyboard Company » dont nous avons déjà parlé ici, prenait à nouveau son indépendance pour redevenir un fournisseur parmi d’autres.

Liens : Le site de Alps ; Reference for Business ;

Publicité : Mac OS 7.6

Le dimanche, c’est publicité en anglais ! Aujourd’hui, voici une publicité un peu bizarre de 1997, vantant la capacité du nouveau Mac OS 7.6 à suivre votre esprit partout où il ira ! Toujours plus intuitif, le nouveau système d’Apple promettait une gestion de la mémoire virtuelle permettant de lancer plus rapidement les applications et les impressions. QuickTime, Open Transport, OpenDoc et CyberDog étaient mis en avant, et comme toujours à l’époque, Apple vantait la compatibilité avec les fichiers Windows qui, promettait-elle, pouvaient être lus sans même l’application d’origine !

Apple 1997 Ad for Mac OS 7.6