Une astuce pour les informations de QuickTime

Aujourd’hui dans notre rubrique d’astuces, voici comment personnaliser les informations d’un film. Vous l’avez peut-être déjà remarqué : certains films QuickTime affichent un titre personnalisé, ne correspondant pas au nom du fichier. De même, si vous cliquez sur le bouton “i”, un tiroir sort sous la fenêtre et affiche 3 lignes d’informations.

Film QuickTime avec informations personnalisées

Pour changer le titre ou les informations, ou pour en ajouter à un fichier QuickTime qui en est dépourvu, il suffit de demander “Lire les informations” dans le menu “Séquence”, puis de choisir “Séquence” dans le premier menu déroulant et “Annotations” dans le deuxième. Ensuite, sélectionnez une ligne et cliquez sur “Modifier”, ou sur “Ajouter” s’il n’y a pas encore d’annotation correspondante. Pour le titre de la fenêtre, c’est la ligne “Nom complet” qu’il faut sélectionner.

Quelques astuces de 2003 pour Panther

En 2003, Apple venait de présenter Mac OS X 10.3 Panther. Voici quelques-unes des astuces que nous avions présentées dans les colonnes de la revue A Vos Mac à l’époque.

Un fichier sensible à détruire, un journal intime à effacer ? Apple a pensé à vous avec la nouvelle fonction d’effacement sécurisé. But de la manœuvre : en plus de perdre la trace du fichier supprimé de la corbeille, le système réécrit des données sans aucun sens par dessus. Ainsi, non seulement le fichier disparaît de la « mémoire » du disque, c’est-à-dire de son catalogue, mais en plus, le fichier est physiquement écrasé par de nouvelles données. L’opération est donc plus longue qu’un effacement classique. Aucun risque ensuite qu’un utilitaire de recherche de fichiers effacés puisse retrouver la trace de vos informations. FBI, GIGN, KGB, FISC, peuvent aller se brosser maintenant ! [Nota : cette fonction a disparu en 2015…]

Apple Panther Vider la corbeille

MacOS X 10.3, alias Panther, permet à l’utilisateur de choisir ses propres combinaisons de touches associées aux fonctions habituelles : capture d’écran, options d’accès, navigation… C’est dans les Préférences Système « Clavier et souris » que ça se passe, sous l’onglet « Raccourcis clavier ». Il suffit de modifier la combinaison de touches correspondant à l’action : doucle-cliquez sur le raccourci, et tapez simplement celui que vous souhaitez utiliser. Si le raccourci est correct, il s’affiche à la place de l’ancien. S’il est déjà utilisé, un triangle d’alerte apparaît à sa droite.

Apple Panther Shortcuts change

Panther a ajouté une nouveauté au traditionnel Pomme-Tabulation qui permet de passer d’une application à une autre. Avant, le dock se chargeait d’afficher quelques instants l’application appelée. Maintenant, les icônes de toutes les applications ouvertes apparaissent en surimpression à l’écran, et l’application appelée est encadrée de blanc.

Panther sélecteur d'applications

Quel intérêt ? peut-on se demander. L’intérêt est le suivant : quand vous avez appuyé sur Pomme-Tabulation, vous pouvez aller plus loin. Maintenez les deux touches appuyées, pour faire défiler les icones, et lâchez la souris au bon moment pour choisir une application. Attention, cela va très vite… Vous pouvez toujours ajouter la touche Majuscule pour faire tourner les applications dans l’autre sens, mais ça ne simplifie pas la tâche ! Vous pouvez surtout relâcher la touche Tabulation, et utiliser alors, au choix, la souris ou les flèches du clavier, pour choisir l’application à faire venir au premier plan. Notez bien qu’il faut relâcher la touche Tabulation, mais pas la touche Pomme ! Si vous utilisez les flèches, sélectionnez l’icône désirée, puis relâchez la touche Pomme. Avec la souris, cliquez sur l’icône ou visez-la simplement avant de relâcher la touche Pomme.

Souvenir – Les raccourcis du menu Pomme

Et vous, avez-vous connu l’époque où l’on pouvait ajouter aisément des éléments dans le menu Pomme ? Entre le système 7 et Mac OS 9, le dossier Système contenait un dossier intitulé « Menu Pomme » ou, en version originale, « Apple Menu Items ». Il était possible d’y créer un dossier  contenant tous les alias souhaités (applications, documents, disques…), éventuellement répartis dans des sous-dossiers. Tous ces raccourcis apparaissaient ensuite sous forme de menu dans le Menu Pomme. Comme toujours avec les présentations par liste alphabétique, il suffisait de mettre un espace avant son nom, pour le faire apparaître au début de la liste.

Des raccourcis (alias) dans le Menu Pomme de MacOS 8.

Deux claviers noirs

Après notre article « Deux souris noires » où nous avions organisé la rencontre de la souris du Performa 5400 et celle de l’iMac Pro, voici maintenant la rencontre du clavier du même Performa de 1996, et du clavier du Newton MessagePad 2000 commercialisé l’année suivante.

Keyboard MessagePad 2000 - Performa 5400 black

Si le clavier noir du Performa 5400/180 était en tout point identique au clavier beige accompagnant les autres modèles de la gamme, le clavier du MessagePad 2000 était unique en son genre.  Marqué à la fois du logo Newton et de la touche pomme, il était conçu pour être particulièrement compact, et se connectait par un port de type Mini-DIN 8-pin, assez proche du port ADB des Macs, mais évidemment tout à fait incompatible… À notre connaissance, aucune version AZERTY de ce clavier n’eut le temps d’être commercialisée, avant son abandon par Apple dès 1998.

Keyboard Apple Newton MessagePad 2000

Ce clavier ADB noir, c’était quand-même la grande classe, n’est-ce pas ?

Apple black ADB keyboard clavier noir

La couleur et l’iPod, une lente maturation

Nous avons déjà parlé de la couleur chez Apple ici  ou . Aujourd’hui, nous vous faisons découvrir le lent travail effectué par Apple pour imposer ses codes en matière de design.

En 2003, Apple lance une grande opération marketing autour d’iPod + iTunes, au travers d’une campagne bien connue : une silhouette noire, portant un iPod blanc, sur un fond coloré (bleu, violet, jaune, vert ou rose).

iPod+iTunes en cinq couleurs
iPod+iTunes en cinq couleurs

Ces mêmes couleurs se retrouvent, sans le violet, sur la boîte de l’iPod 4G lancé en juillet 2004. Il faudra cependant attendre l’été 2006 et le lancement de la seconde génération d’iPod Nano pour retrouver ces teintes, sur l’aluminium anodisé de ces petits nouveaux. Et là, surprise, les couleurs sont au plus proches de celles utilisées depuis 2003.

iPod nano bleu et vert, boîte d'iPod 4G

iPod nano rose et vert, boîte d'iPod 4G

Depuis 2003 ? En fait, 1998. Car si on y regarde de plus près, ces couleurs sont déjà présentes au lancement de l’iMac révision C : myrtille, raisin, mandarine, citron vert et framboise. Cinq couleurs qu’Apple n’a eu de cesse de décliner en deux décennies.

Les iMac colorés

 

Une publicité des années 1980

Intéressante, cette publicité de 1986 trouvée au verso d’une réclame pour l’Apple IIGS. L’entreprise PC Technologie proposait en France un logiciel conçu par Symantec, permettant de constituer des bases de données et de les interroger en langage naturel (par écrit, hein, faut quand-même pas rêver). Une publicité pas du tout datée, sur le fond comme sur la forme…Publicité 1986 PC Technologie

Près de vingt-cinq ans avant Siri, Symantec avait développé là son premier logiciel, tenant de la base de données et du traitement de texte, et intégrant les récents concepts de l’intelligence artificielle, sous le nom de Q&A (Question & Answers), devenu en français Q&R (Questions & Réponses). Wikipedia nous apprend au passage que Q&A n’a finalement jamais été adapté au Macintosh… Pourtant le logiciel avait quelques atouts, comme ses 600 mots de vocabulaire, ou son affichage WYSIWYG qui permettait d’obtenir à l’impression ce que l’on voyait à l’écran.

L’idée de répondre à des questions en langage naturel a été reprise par des sites comme Ask Jeeves (1996) ou Google Questions and Answers (2007), ou des systèmes comme Sherlock sous Mac OS 8.5 (1998). On retrouve dorénavant ce concept dans tous les assistants vocaux : Siri, Cortana, Alexa… Q&A faisait même mieux que Siri sur un point : il était capable de comprendre plusieurs questions enchaînées !

L’Apple Expo, de passage à Marseille et à Lyon

Il y a quelques semaines, nous vous avions raconté comment l’Apple Expo s’était exportée en Allemagne, en octobre 1984, quelques mois après sa première édition française. Dernièrement, nous avons (re)découvert que l’Apple Expo s’était aussi déroulée à Marseille, en 1991. C’est au détour d’une petite annonce sur eBay que nous avons retrouvé un badge d’accès, également exposé sur le site d’un collectionneur de badges

Badge visiteur Apple Expo 1991

Il y a peu de traces de cet événement. Grâce au site 1001mags.com, nous avons retrouvé un court article du magazine Tilt de juin 1991. Et voilà ce qu’en disait le journaliste Mathieu Brisou : « Pour la première fois, Apple Expo se décentralise. En effet, Marseille a accueilli du 11 au 13 avril 1991 la première Apple Expo Marseille. Le Hall 3 du parc Chanot a ainsi rassemblé une quarantaine d’exposants sur environ 6000 m2. Toutefois, les foules ne semblent pas s’être déplacées. Serait-ce dû au manque de publicité pour cette exposition ? L’avenir le dira mais en tout cas Apple en tirera sûrement les conclusions ».

Et en effet, la marque en avait tiré une conclusion, en organisant en 1992 et 1993 de nouvelles Apple Expo décentralisées, mais à Lyon cette fois-ci. Et l’évènement avait été bien plus médiatisé, ne serait-ce que dans le magazine Apple News distribué aux clients de la marque.

Apple Expo Lyon

Une interview de Bill Atkinson sur HyperCard

En parcourant la vaste collection numérisée de la revue InfoWorld, disponible sur Google Books, nous avons retrouvé une interview qu’avait accordée Bill Atkinson, l’un des créateurs du Macintosh, et papa d’HyperCard.

En introduction, le journaliste rappelait le succès d’HyperCard en ce début d’été 1988 : 700.000 utilisateurs, des versions internationales et une version 1.2 largement accélérée. Malgré cela, l’objectif de Bill Atkinson restait inchangé : « permettre aux gens d’être à leur meilleur niveau ». Un objectif dépassé selon l’auteur du logiciel, tant Apple en a vanté les mérites (alors même qu’elle ne l’avait pas commandé à l’origine) : confier HyperCard aux utilisateurs, c’était un peu comme leur confier une clé à molette et les observer s’en servir de mille manières, jusqu’à enfoncer des clous avec ! Avec HyperCard, l’ordinateur devient utile, l’utilisateur reprend le contrôle sur la machine. Et le même logiciel permet également de diffuser des informations présentées de manière interactive ! HyperCard, c’est à la fois l’application (et ses fonctions) et le document (et ses informations).

Le journaliste interrogeait ensuite Bill Atkinson sur la possibilité de voir arriver un jour une version pour l’IBM PC ou le PS/2. Bill Atkinson l’espérait. Pour lui, il aurait été normal que d’autres éditeurs copient HyperCard, car lui-même s’était inspiré du travail de tant d’autres créateurs ! Il reconnaissait tout de même que la tâche serait difficile, tant HyperCard s’appuyait sur les avancées logicielles et matérielles uniques du Macintosh.

Au détour d’une question sur l’influence d’HyperCard dans le milieu de l’éducation, Bill Atkinson rappellait que le logiciel avait été diffusé à Stanford avant même sa sortie, quand il s’appelait encore Wildcard (on a vu ici pourquoi ce nom a finalement été abandonné). Il défendait ensuite le caractère professionnel de son logiciel, dans un monde où il était devenu indispensable d’interagir avec les informations dans des formes variées, comme le texte et l’image. La question suivante abordait d’ailleurs la question de l’affichage à l’écran, au moment où Apple venait de rempiler avec sa création Quickdraw, écartant le recours au nouveau moteur Display PostScript défendu par NeXT et Adobe. Une réussite logicielle, selon Bill Atkinson, mais trop gourmande pour les ordinateurs de l’époque (l’avenir lui donnera raison, puisque Mac OS X adoptera en 2001 un système Quartz dérivé du PDF et du PostScript, capable d’afficher aisément les fenêtres de Mac OS 9 encore basées sur Quickdraw).

Le journaliste abordait ensuite la question du procès intenté à Microsoft par Apple, en raison des emprunts de Windows au système du Macintosh. Bill Atkinson répondait par une image toute simple : « si quelqu’un dessine Mickey Mouse sur une balle et vend celle-ci, tout le monde comprendra qu’il doive payer une licence à Disney »… Puis l’interview se terminait autour du concept de Knowledge Navigator, une vision de l’informatique portable par John Sculley, dont Bill Atkinson ne se gêne pas pour dire qu’il s’inspirait largement de son Magic Slate, une tablette tactile pilotée par stylets, imaginée dès 1983 mais jamais concrétisée. Un outils de communication, permettant notamment d’échanger par écrit, de manière moins intrusive qu’avec le téléphone. Un outil qu’il aurait aimé pouvoir garder sur lui en permanence…

Quel est le lien entre Apple et le DS-7 ?

Évidemment, il y a un piège. Il ne s’agit pas ici de la voiture DS 7, mais du Fujifilm DS-7, un appareil photo numérique présenté par Fuji en septembre 1996. Il avait quelques arguments pour lui : un format de poche, un capteur de 0,3 mégapixels, un mode macro intégré, un focus manuel à trois positions, un sélecteur d’ouverture (ƒ/2.2 ou ƒ/8), un enregistrement sur une carte amovible SmartMedia, et un écran LCD de 1,8 pouces permettant la visée en temps réel et la visualisation immédiate de l’image. On en trouve un modèle actuellement sur eBay pour une quarantaine de dollars (edit : on en trouve un autre, en meilleur état, ici pour 45 euros).

Apple QuickTake aka Fujifilm DS-7

Apple QuickTake aka Fujifilm DS-7

Pas étonnant qu’Apple ait utilisé ce modèle pour concevoir son QuickTake 200 quelques mois plus tard. C’était le troisième représentant de la lignée, après le QuickTake 100 et le QuickTake 150 qui utilisaient un format plat bien moins conventionnel. Mais Apple ne s’était pas contentée de « rebadger » l’appareil de Fuji : elle avait modifié le module de compression JPEG pour offrir une meilleure qualité d’image, chaque fichier de 640 x 480 pixels pesant alors environ 90 kilo-octets.

Apple QuickTake 200 front with box

Apple QuickTake 200 rear with box

Contrairement à l’appareil de Fuji, le QuickTake 200 était livré avec un viseur optique externe, qui venait se fixer au-dessus de l’appareil. Il permettait de viser dans des conditions de luminosité où l’écran LCD peinait à faire son office (scène trop sombre, ou environnement trop lumineux). Étrangement, malgré cet accessoire, il n’était pas possible de couper l’alimentation de l’écran pour économiser la batterie.

Apple Quicktake 200 optical viewfinder

 

Liens : Epi-centre.com ; Manuel utilisateur (en anglais)

Publicité : Apple Care

Dans la famille AppleCare, nous vous avons déjà présenté la grand-mère, la brochure « Atchoum ! Aïe ! Ouille ! » de 1985 présentant ce programme de garantie pour les produits Apple. Nous vous avons aussi présenté le père, ce dépliant « Prendre soin de son Macintosh » datant de 1989. Aujourd’hui (et puisque le dimanche, c’est publicité en anglais), voici la fille, la publicité de 1992, qui invitait à considérer AppleCare comme « un airbag pour votre Macintosh ». À l’époque, l’airbag était encore une innovation récente, et la plupart des voitures n’en étaient dotées qu’en option. Ce coussin accueillant un Macintosh IIsi était donc un message plus « moderne » qu’il n’y paraît maintenant. « Si quoi que ce soit arrive à votre ordinateur, il n’y a rien de tel qu’AppleCare pour amortir le choc. Et protéger cette puissance qu’Apple vous a donnée. La puissance de donner votre maximum ».

AppleCare 1992 Ad

La brochure du Macintosh Portable

Très sympa, cette brochure pour le Macintosh Portable de 1989. Elle était agrafée de sorte à imiter l’ouverture du premier ordinateur portable d’Apple : d’un côté, on découvrait le clavier et l’écran (Ta da !), et de l’autre, on pouvait apercevoir l’emplacement pour la carte d’extension et la batterie.

 

Brochure Macintosh Portable

 

Dans les autres pages, on pouvait lire la prose habituelle de ce type de brochures : le Macintosh Portable y était décrit dans le détail, avec son écran LCD à matrice active, sa compatibilité avec tous les logiciels du Mac, sa batterie capable de tenir le temps d’un vol New-York-Paris (en Concorde ?), son trackball intégré, sa connectivité complète (avec SCSI, ADB, sortie vidéo, prise casque…) et son clavier pleine taille…

Macintosh Portable 1989 pamphlet

Dans un style plus simple, la marque a aussi utilisé le principe de la brochure qui s’ouvre comme l’ordinateur, vingt ans plus tard pour son iBook coloré. On en trouve un exemplaire orange et bleu ces jours-ci sur eBay

iBook booklets

Comment protéger un dossier par un mot de passe ?

En fouillant dans les archives d’articles rédigés pour feu la revue A Vos Mac, j’ai retrouvé ce grand classique publié en 2011, qui n’a pas pris une ride en dix ans ! Comme à l’époque, en utilisant l’application « Utilitaire de disque », vous pouvez transformer un dossier en fichier crypté par un mot de passe : l’image disque.

Lancez l’application « Utilitaire de Disque » qui se trouve dans votre dossier « Applications > Utilitaires ». Choisissez le menu « Nouvelle image disque du dossier… », sélectionnez votre dossier, donnez un nom à votre image, et choisissez le format « lecture/écriture » et le chiffrement « AES 256 ». Validez en cliquant sur « Enregistrer ». L’application vous demande ensuite d’indiquer un mot de passe, à entrer deux fois pour être sûr de ne pas se tromper… Décochez bien la case « Mémoriser le mot de passe ».

Utilitaire de disques, image disque, dossier secret

Vous pouvez ensuite quitter « Utilitaire de Disque ». Dans le Finder, là où vous l’avez enregistrée, vous trouverez une icône portant le nom de votre disque. Double-cliquez dessus : le Finder vous demande alors le mot de passe. Si vous l’indiquez, un nouveau disque apparaît sur votre bureau. Vous pouvez maintenant glisser sur ce disque les fichiers à cacher. N’oubliez pas ensuite d’éjecter le disque (menu « Fichier > Ejecter le disque ») quand vous quittez la pièce…