La pub du dimanche – Quadra 900

Le dimanche, c’est publicité ! Cette semaine : une publicité de 1992 pour le Quadra 900. Création graphique, illustration, retouche d’image et mise en page, tout est possible sur cette machine apparue en octobre 1991. Pour 7200$, Apple proposait une bête de course, dont la mémoire vive de 4 Mo était extensible, excusez du peu, à 256 Mo, du jamais vu à l’époque. Largement de quoi faire tourner ArtMixer, FreeHand, PhotoShop et QuarkXPress, les logiciels révolutionnaires mis à l’honneur par cette réclame.

La série Macintosh Quadra doit son nom au processeur 68040 (ici à 25 Mhz), qui succédait au 68000 (du Macintosh original en 1984), au 68020 (du Macintosh II en 1987) et au 68030 (du Macintosh IIx en 1988).

Publicité Apple Quadra 900 de 1992

La PAO des années 90 sur un poster Apple

Voici encore une belle découverte sur eBay : un poster datant du tout début des années 90, à l’époque de QuarkXPress 3, du Macintosh IIcx et de la LaserWriter IINTX, toutes trois citées dans le visuel. Il faut dire que ce poster était tout à la fois une publicité et le récit de sa propre création.

Apple 1990 changes the world poster

En effet, sous le slogan « Apple change le monde. Lisez cela en détail », la marque avait détaillé le processus de création du poster lui-même, qui associait sur un planisphère des extraits de nombreuses publications créées sur Macintosh. Et ce n’était pas une mince affaire à l’époque !

Il avait fallu tout d’abord qu’un artiste californien nommé Chris Krueger dessine la carte du monde au feutre, avant de la numériser sur un scanner à plat pour en tirer un fichier PICT, pour le reprendre ensuite au format vectoriel dans Adobe Illustrator 88. Les parties du monde ainsi dessinées avaient été associées dans un document QuarkXPress de 90 x 70 cm, et le travail s’était poursuivi entre Illustrator et Adobe Photoshop, à une résolution de 28 000 x 16 000 pixels (soit un bon 448 millions de pixels tout de même, sur des ordinateurs tournant à 16 Mhz et plafonnant à 128 Mo de mémoire vive). Pour envoyer les images des magazines numérisées sur un scanner rotatif professionnel Scitex, il avait fallu les enregistrer sur un disque dur externe et envoyer celui-ci par colis ! Imaginez que le fichier final pesait 112 Mo, à une époque où le plus gros disque dur externe d’Apple n’offrait qu’une capacité de 300 Mo !

La grosse boîte de l’Apple Family System

À l’approche de Noël 1981, le catalogue d’Apple n’était pas encore très fourni. Il y avait l’Apple II, l’Apple ///, leurs accessoires… et c’était tout. Alors pour vendre une machine sortie trois ans plus tôt et qui commençait à subir une concurrence féroce, il fallait faire preuve d’imagination. Par exemple, vendre un kit tout-en-un destiné au public familial à la recherche de son premier ordinateur, un carton comprenant tout le nécessaire pour débuter. J’ai nommé : l’Apple Family System, une grosse boîte comprenant un Apple II+ avec un adaptateur pour le brancher sur une télévision, un lecteur de disquettes Disk II, deux manettes de jeux, et une poignée de logiciels. Le tout pour 2995 dollars environ (le prix baissera à plusieurs reprises ensuite), soit une réduction d’un bon millier de dollars tout de même.

Apple Family System 1982 prices

Cette offre commerciale était une aubaine pour les éditeurs de logiciels associés à cette offre. Ainsi, Software Publishing se félicitait-il, dans les colonnes d’InfoWorld, d’un accord visant à fournir 35.000 copies de son logiciel de base de données « Personal Filing System ». Son président Fred Gibbons comparait alors cette offre au train électrique que papa achète à Noël parce que ça lui fait plaisir, mais qui se justifie en expliquant que tout le monde en profitera.

Apple Family System 1982 Manual

Dans le même article, Mike Connors, product manager chez Apple, présentait les autres logiciels qui accompagnaient l’offre : Personal Finance Manager, Apple Writer, Apple Typing Tutor, ou encore les jeux Microsoft Olympic Decathlon, Apple Stellar Invader et Apple Adventure. Cette offre faisait également l’objet de publicités diffusées par les revendeurs américains de la marque. Celle-ci est tirée de la revue Orange Coast de mars 1982. On en trouve d’autres sur Internet, toujours avec le même visuel quel que soit le revendeur.

1982 Apple Family System Ad

De notre côté, nous avons dégoté le manuel utilisateur fourni avec l’offre. En voici quelques pages, qui prouvent qu’on était encore loin de la simplicité du Macintosh, du Performa 5200 ou de l’iMac, qu’il suffisait de sortir du carton. En 1981, il fallait encore déballer l’unité centrale, l’ouvrir, installer la carte pilotant le lecteur de disquettes, connecter les manettes de jeux directement sur la carte-mère, bricoler le modulateur de fréquence permettant de connecter la télévision… Bref, mettre un peu les mains dans le cambouis.

Apple Family System 1982 Manual

Apple Family System 1982 Manual

Le manuel ouvrait également de nouvelles perspectives aux nouveaux propriétaires d’Apple II en leur présentant les périphériques disponibles, d’autres logiciels, ainsi qu’une longue liste de clubs d’utilisateurs Apple à travers le monde. Près de chez nous, il y en avait deux en Allemagne, un en Espagne, mais aucun en France !

Un tel équipement, dans son carton, avait été proposé sur eBay en 2017 et avait trouvé preneur pour 431 dollars. Le site Worthpoint en a conservé quelques images.

Apple Family System Box on eBay
Image : eBay via Worthpoint

Un prototype de bureau de change portable chez Apple

Après un prototype de Macintosh et quelques projets d’ADB Mouse II déjà présentés dans notre blog, voici aujourd’hui un autre extrait de l’excellent livre Apple Design : The Work of Apple Industrial Design Group, introuvable dorénavant sauf sur le marché de l’occasion. Cette fois-ci, c’est un… euh… bah… une sorte de bureau de change portable, capable d’échanger vos billets entre différentes devises. Plus besoin de banque, plus besoin de calcul, il suffit d’insérer des billets d’un côté, et de récupérer d’autres billets de l’autre côté.

Un prototype d'Exchanger chez Apple
Vu dans l’excellent livre Apple design : the work of Apple Industrial Design Group

De deux choses l’une : soit la machine recycle les billets pour en imprimer de nouveaux, soit elle dispose d’une réserve de billets roulés bien serré à l’intérieur. Ou bien il s’agissait juste d’une bonne blague de Susanne Pierce, à l’origine de ce projet loufoque !

Pourquoi le Lisa coûte-t-il si cher ?

On a tous entendu parler de ces « Apple-1 » qui s’arrachent à prix d’or aux enchères : 905.000 dollars en 2014, 815.000 dollars en 2016, ou « seulement » 110.000 euros en 2017. Avec moins de 200 unités produites, dont une soixantaine aujourd’hui recensés dans le monde, et seulement quelques unités en état de marche, ce modèle mythique attire en effet musées et collectionneurs fortunés.

Mais comment expliquer que le prix des « Lisa-1 » (en réalité, des Lisa tout court) s’envole également ? En mars dernier, un exemplaire s’est vendu pour 55.300 dollars sur eBay, alors que les modèles suivants plafonnent à une fraction de ce prix.

First Lisa with twiggy drives on eBay
Un Lisa 1 en vente sur eBay

Tout simplement parce qu’on ne trouve presque plus aujourd’hui de Lisa original dans la nature. Lors de la sortie du Lisa 2, Apple proposa de « mettre à jour » gratuitement les Lisa d’origine, grâce au remplacement des deux lecteurs Twiggy 5″1/4 par un seul lecteur 3″1/2 et à l’installation d’une nouvelle façade. Il faut dire qu’il fallait bien ça pour éviter la colère des utilisateurs, qui avaient payé leur Lisa près de 10.000 dollars avant que le nouveau modèle ne soit proposé pour la moitié de ce prix. Autant dire qu’il fallait être un peu fou, ou très distrait, pour passer à côté de l’aubaine. Le coup de grâce fut donné en 1986 : chaque propriétaire de Lisa fut invité à échanger sa machine contre un Macintosh Plus équipé d’un disque dur externe de 20 Mo, moyennant une participation de 1500 dollars. Et voilà pourquoi le Lisa d’origine est devenu introuvable.

Au passage, savez-vous pourquoi le disque dur ProFile vendu avec plusieurs modèles de Lisa n’avait ni la couleur, ni le design, ni même la largeur du Lisa ? Tout simplement parce qu’il avait été conçu en 1981 pour l’Apple III, avec lequel il s’accordait parfaitement.

Gérer les cookies dans Internet Explorer 5 sur Mac

Tout n’est pas bon dans les cookies, ces petits éléments stockés sur votre disque dur par les sites web que vous visitez. Identifiants, coordonnées, préférences, tout peut être stocké, pour vous simplifier la vie (enregistrer vos réglages par exemple) ou vous suivre à la trace (achats, pages visitées…).

Les deux grands navigateurs que sont Internet Explorer et Safari vous permettent de savoir ce qui est gardé en mémoire sur votre ordinateur, et au besoin de supprimer les éléments indésirables. Dans la fenêtre de Préférences, cliquez sur « Cookies » (IE) ou sur « Sécurité » puis « Afficher les cookies » (Safari). Si la liste qui apparaît semble au premier abord pour le moins obscure, vous comprendrez vite le fonctionnement : les cookies sont affichés selon le site qui les a créés, et disposent chacun d’un nom.

Cookies on Macintosh Internet Explorer 5 Macintosh

À chaque visite, le site en question demande à l’ordinateur le contenu ou la valeur de ce cookie, et peut également la modifier. Cette valeur peut être affichée, mais elle est généralement cryptée ou chiffrée pour des raisons de sécurité. Vous repérerez également rapidement qu’une grande partie des cookies ne viennent pas des sites que vous fréquentez habituellement, mais de régies publicitaires. Ceux-là, vous pouvez vous en débarrasser sans crainte, en les sélectionnant avant de cliquer sur « Supprimer ». N’effacez pas les cookies des sites que vous utilisez habituellement, au risque de devoir entrer à nouveau tous vos réglages !

Cette astuce a été publiée en 2003 dans la revue A Vos Mac.

Le PowerBook/DOS Companion sur eBay

Dans les années 90, posséder un Mac au milieu d’un environnement PC était une vraie galère. Les logiciels pour Mac étaient différents de ceux sur PC, les disquettes ne pouvaient pas être échangées entre les deux plate-formes, et même les matériels étaient incompatibles : écrans et imprimantes possédaient des connectiques différentes ! Alors pour les utilisateurs de PowerBooks amenés à travailler dans un tel environnement, Apple avait une solution : le PowerBook/DOS Companion, que vous pouvez retrouver sur eBay ces jours-ci.

PowerBook/DOS Companion
Image : eBay

Cette boîte comprenait en fait quatre produits :
– le MacVGA Video Adapter de James Engineering, permettant de connecter un écran couleur VGA ou SVGA sur un PowerBook doté d’une sortie vidéo (comme les PowerBooks 160 ou 180, ou les PowerBooks Duo connectés à un Duo MiniDock) ;
-le logiciel MacLinkPlus/PC de DataViz, capable de traduire des documents tels que des traitements de texte ou des feuilles de calcul, du PC vers le Mac, et réciproquement ;
– le logiciel PowerPrint de GDT Softworks, pour utiliser des imprimantes PC, fourni avec un câble parallèle vers série ;
– le logiciel Macintosh PC Exchange (d’Apple, cette fois-ci), qui permettait de lire des disquettes DOS, Windows ou OS/2 directement sur le Macintosh.

Pour l’occasion, nous avons retrouvé ces deux publicités pour le PowerBook, vantant sa popularité auprès des utilisateurs de Macintosh, mais aussi des utilisateurs de PC : la boîte du PowerBook/DOS Companion y est représentée, avec la mention « MS-DOS-Friendly » !

Image : Google Books
Image : Google Books

Liens : Tidbits.com ; Google Books ;

AppleDesigns, un monde disparu

Avant le grand ménage de 1998 et l’apparition de l’Apple Store en-ligne, Apple avait déjà une petite boutique sur le web : AppleDesigns, un site dédié à la vente d’objets publicitaires aux couleurs de la marque et de ses différentes branches, du Newton à Mac OS.

AppleDesigns

Sur ce site, à l’adresse http://www.appledesigns.com (qui appartient toujours à la marque mais n’est plus utilisé), il était possible de commander toutes sortes de goodies, du t-shirt à la casquette, en passant par les porte-clés, les sacs et les montres. Le site 9to5mac.com en a récupéré quelque copies d’écran et le site web.archive.org permet de naviguer dans une version archivée, hélas très incomplète.

AppleDesigns Goodies

A partir de la fin de l’année 1998, le site avait disparu et laissé a place à un message annonçant l’arrivée prochaine de l’Apple Store Merchandise, qui n’a finalement jamais vu le jour.

Le disque dur externe pour Macintosh

Avant le Macintosh Plus, les premiers Macs n’étaient pas équipés de port SCSI. Ils disposaient de quelques ports spécialisés pour l’imprimante, le lecteur de disquettes, la souris et le clavier. Bref, pas de port polyvalent permettant d’étendre les capacités de la machine.

C’est pour cette raison que le premier disque dur externe d’Apple destiné à la gamme Macintosh, dont la brochure est présentée ici, se connecte par le port destiné aux lecteurs de disquettes. Présenté en septembre 1985 sous la référence M2600Z, et l’appellation usuelle « HD20 », ce disque dur à plateaux n’était compatible à l’origine qu’avec le Macintosh 512K : le Macintosh original (rebaptisé Macintosh 128K) ne disposait pas d’assez de mémoire vive.

Brochure pour le disque dur externe du Mac, le HD20

Ce disque dur était fourni avec une disquette de démarrage spécifique. Les ROMs du Mac 512K n’étant pas compatibles avec le format HFS, il n’était pas possible de démarrer directement sur le disque dur externe : le Mac démarrait sur la disquette, puis cherchait un dossier système sur le disque dur, et poursuivait son démarrage en éjectant la disquette.

Brochure pour le disque dur externe du Mac, le HD20
Remarquez la précision des données techniques !

Le disque dur 20 Mo sera remplacé en septembre 1986 par un modèle revue et corrigé, le « HD 20SC », équipé d’un port SCSI s’intégrant parfaitement avec le Mac Plus apparu la même année. Le HD20 restait cependant parfaitement utilisable avec le Mac Plus et le Macintosh 512Ke, tous deux équipés de nouvelles ROMs permettant de démarrer directement sur le disque dur.

Une astuce pour récupérer des sons

Aujourd’hui, dans notre rubrique d’astuces, voici comment accéder aux sons dans des fichiers ou des applications avant MacOS X, par exemple pour récupérer un son pour une application ou un diaporama personnel, ou simplement réécouter vos musiques de jeux préférés !

Tout d’abord, un petit rappel : il existe de nombreuses manières de stocker des sons. Certains logiciels stockent leurs sons sous forme de ressources. Quand c’est le cas, pour y accéder, il faut utiliser ResEdit (ou un autre éditeur de ressources comme Resorcerer), ou passer par des applications capables de travailler sur les ressources (c’est le cas de SoundEdit 16 ou SoundExtractor).

D’autres logiciels utilisent le format de « Son Système », apparu avec le système 7. Ce format permet de lire les sons directement sur le Finder, sans passer par une autre application. D’autres applications traitent directement des films QuickTime. Dans ce cas, il suffit de les ouvrir avec Lecture QuickTime. Enfin, beaucoup d’applications utilisent d’autres formats de sons, la plupart n’étant lisibles que par l’application d’origine… Néanmoins, il est toujours possible d’essayer de les récupérer avec SoundEdit ou d’autres applications qui, avec un peu de chance, sauront traduire ces formats ! Par exemple, les fichiers MIDI pourront être lus avec PlayerPro ou QuickTime.

Pour retrouver les sons d’une application, commencez par observer son dossier : si l’application est seule, les sons sont forcément inclus dedans. Il se peut qu’il y ait un dossier “Musique”, “Sons” (ou les équivalents en autres langues). Dans ce cas ouvrez-le pour voir ce qu’il contient.

Après avoir repéré d’où peuvent provenir les sons, essayez d’ouvrir le fichier “suspect” avec un éditeur de sons ou avec ResEdit, ou même essayer avec l’application “SimpleSound” du menu Pomme. Si vous utilisez un éditeur de sons, la liste des sons disponibles va s’afficher. Ensuite, il ne vous reste qu’à les sélectionner et à les exporter dans le format désiré (système 7, QuickTime…).

Si vous utilisez ResEdit, la manipulation est un peu plus compliquée. Commencez par ouvrir le fichier dans lequel se trouvent les sons (l’exemple pris ici est SimCity 2000). Vous obtenez alors la liste des ressources. Un seul type nous intéresse : la ressource “snd”. Vous pouvez double-cliquer dessus pour accéder à la liste de tous les sons contenus dans le fichier. Pour les écouter, cliquez une fois dessus et tapez Pomme-T (qui correspond au menu “Try Sound”).

Ressources de SimCity dans ResEdit

Maintenant que nous avons trouvé des sons, nous pouvons les enregistrer, tout d’abord au format système 7 : répétez la manœuvre suivante pour tous les sons qui vous intéressent. Créez un nouveau fichier ResEdit, auquel vous donnerez le nom que vous voulez. Copiez un son (un seul !) depuis le fichier d’origine vers ce nouveau fichier ResEdit.

Une ressource snd dans ResEdit

Puis, pour transformer ce fichier en son lisible depuis le Finder, changez son type et son créateur : utilisez le menu “Get Info for this file” (dont le nom change en fonction du fichier ouvert !). Dans le champ “Type”, entrez “sfil” et dans le champ “Creator”, entrez “movr”, tout en minuscule !

Code type et code créateur dans ResEdit

Au bout de quelques instants, vous verrez sur le Finder que votre fichier prend l’icône des fichiers-sons, et vous pouvez alors le lire simplement en double-cliquant dessus ! Ensuite, vous pouvez transformer ce son avec Lecture QuickTime ou un autre éditeur de sons (SoundApp par exemple), pour l’utiliser dans un autre format.

Remarque importante : travaillez toujours sur des copies des fichiers ou applications que vous explorez ! Autre remarque importante : les sons restent la propriété intellectuelle de leurs auteurs et vous ne devez en aucun cas les diffuser ou les utiliser pour une utilisation commerciale. Cette astuce a été publiée en 2000 dans la revue A Vos Mac.

Bon anniversaire le PowerMacintosh G3 bleu !

Le 5 janvier 1999, durant la MacWorld Expo de San Francisco, Apple lançait « une nouvelle gamme de Power Macintosh G3 réinventés », comme on pouvait le lire dans le communiqué de presse.

PowerMacintosh G3 blue White Close-Up

Un processeur PowerPC G3 de 300 à 400 Mhz, une carte graphique ATI Rage 128, une connexion Ethernet 10/100 Base-T, deux connexions USB, un port FireWire 400, le tout « logé dans une mini-tour translucide frappante dotée d’une porte révolutionnaire facilitant son accès et son expansion ».

PowerMacintosh G3 blue White Close-Up

« Le Power Macintosh G3 original était dur à battre mais nous l’avons fait avec une nouvelle gamme qui écrase la concurrence par sa puissance brute, sa performance avec les graphiques et sa conception industrielle » déclarait Steve Jobs, chef de la direction d’Apple par intérim. « Le nouveau Power Macintosh G3 monte la barre des attentes que les gens devraient avoir à l’égard d’un ordinateur personnel ».

PowerMacintosh G3 blue White Close-Up

Nous, ce qu’on adore, ce sont les détails de son design, très représentatif de cette époque inoubliable de la marque à la pomme. On ne s’en lasse pas !