Une carte-mère Apple copyrightée par Microsoft

On peut avoir du mal à le croire, mais il y a eu une époque où les relations entre Apple et Microsoft étaient au beau fixe, loin de la brouille qui opposera les deux entreprises de la sortie de Windows jusqu’au retour de Steve Jobs.

Ainsi, en 1977, au moment de sa sortie, le premier Apple II intègre le langage Integer BASIC écrit par Steve Wozniak lui-même. C’est une adaptation assez simple de ce langage, qui est notamment incapable de gérer les nombres à virgule. Pour corriger ce défaut, et dans l’objectif de s’attaquer au marché professionnel, Apple prépare alors l’Apple II+ (dénommé europlus chez nous et j-plus au Japon) et choisit d’y intégrer le langage BASIC écrit par Microsoft pour l’Apple II. Celui-ci était moins rapide, mais plus complet que celui d’Apple, et permettait à la marque de ne pas perdre du temps à réécrire son propre BASIC avant la commercialisation de l’Apple II+ qui débarquera finalement le 1er juin 1979. En conséquence, on retrouve le copyright de 1977 de Microsoft sur toutes les cartes-mères d’Apple II intégrant ce langage, comme ici sur la carte-mère de l’Apple IIc.

Carte-mère d'Apple IIc, avec copyright Microsoft 1977

Pour la petite histoire, on se souviendra qu’au moment de renouveler le contrat en 1985, Microsoft acceptera de prolonger sa licence, sous réserve qu’Apple cesse de commercialiser sa propre version du langage BASIC pour le Macintosh, lui laissant ainsi le champ libre pour commercialiser son Microsoft BASIC pour Macintosh.

La boîte à batterie pour PowerBook

Dans la Collection de l’Aventure Apple, on trouve quelques PowerBooks, des modèles des années 90, du premier PowerBook 100 jusqu’au dernier PowerBook G4. L’un d’entre-eux est accompagné d’une petite boîte destinée à ranger une deuxième batterie.

Apple PowerBook Battery Case

Notre modèle est prévu pour accueillir la batterie d’un PowerBook 145B. Mais on trouve d’autres modèles pour d’autres batteries, comme celui destiné aux PowerBooks 140/170 (ici en vente sur un site polonais !)

Apple PowerBook Battery Case

Cette boîte permettait notamment d’éviter que les connecteurs de la batterie, situés sur l’un des angles, ne puissent entrer en contact avec un objet métallique, ce qui pouvait provoquer un court-circuit, voire un incendie.

Apple PowerBook Battery Case

On trouve aussi en ce moment sur eBay une boîte à batterie plus simple, fournie avec une batterie de remplacement d’Apple Service (le service après-vente de la marque). Celle-ci est accompagnée d’étiquettes à ajouter sur vos batteries, pour prévenir du risque d’incendie mentionné plus haut.

Image : eBay

Gérer les fichiers du Finder avec HyperCard

Si HyperCard est assez limité dans sa gestion du contenu des disques, il est tout de même capable de rendre certains services bien pratiques. De plus, en utilisant les capacités des commandes externes, il devient possible d’automatiser des tâches qui pourraient prendre beaucoup de temps.

Manage Finder files with HyperCard

Sans aucune commande externe, il est possible d’ouvrir un fichier et de lire son contenu avec une pile HyperCard :

on mouseUp
  global lefichier, lavariable
  answer file "Fichier à ouvrir ?"
  put it into lefichier
  open file lefichier
  repeat until it is empty
    read from file lefichier for 500
    put it after lavariable
  end repeat
  close file lefichier
end mouseUp

Le script précédent déclare deux variables, demande à l’utilisateur de choisir un fichier, puis ouvre le fichier et copie son contenu, par paquets de 500 caractères, dans une variable. Ensuite, il referme le fichier. À partir de ce moment, il est possible d’utiliser le contenu de la variable et de le modifier comme n’importe quelle suite de caractères. Ensuite, on peut inscrire le contenu de la variable dans le fichier précédent. Si la variable est vide, alors le fichier sera vidé !

open file lefichier
write lavariable to file lefichier
close file lefichier

Avec ces quelques lignes, il devient possible de créer des fichiers texte (de type SimpleText, HTML…) et même des fichiers de tout autre type (JPEG, Mov…) à condition de connaître le format de données correspondant !

Ensuite, pour améliorer encore la gestion des fichiers, il faut utiliser des XCMD (commandes externes) qui permettent de dépasser les limites d’HyperTalk. Parmi les externes indispensables, on trouve GetDir et SetFInfo de Frédéric Rinaldi. Voici par exemple un script qui permet de transformer tous les documents “.htm” d’un dossier en documents GoLive, quel que soit leur format d’origine (Explorer, HomePage…) :

on mouseup
  answer folder "Quel dossier voulez-vous modifier ?"
  put it into ledossier
  put getdir(ledossier,f) into lesfichiers
  repeat with i = 1 to number of lines in lesfichiers
    if line i of lesfichiers contains “.htm” then SetFInfo ledossier & line i of lesfichiers,"t=" & TEXT,"c=" & GoMk
    end if
  end repeat
end mouseup

Remarquez la quatrième ligne qui utilise la XCMD GetDir et qui permet de connaitre le contenu d’un dossier. La septième ligne, de son côté, permet de modifier le type et le créateur d’un fichier. Et voilà comment, après avoir créé 500 pages HTML avec une pile HyperCard, on les modifie en documents GoLive qui, d’un simple double-clic, s’ouvrent dans l’éditeur HTML plutôt que dans SimpleText !

L’anti-reflet, de l’Apple III au Mac Pro 2019

Le nouveau Mac Pro 2019, dont nous avons déjà comparé le design à celui d’une râpe à fromage, est accompagné d’un écran Pro Display XDR un peu cher, qui dispose d’une finition mate présentée comme révolutionnaire par Apple : un traitement de surface consistant en une gravure nanoscopique chargée de dévier les reflets de la lumière ambiante pour les rendre moins visibles.

Mac Pro 2019 antiglare coating

Cette idée n’est pas nouvelle chez Apple. Ce qui a évolué, c’est l’échelle à laquelle elle est appliquée. Déjà en 1980, quand elle présente son Apple ///, la marque conçoit pour lui un nouvel écran, le Monitor /// — en fait, c’était même le premier écran conçu par Apple. Mais la principale particularité du Monitor ///, c’était ce traitement de surface, à base de fils de nylon. On ne parlait pas encore de nano, mais déjà de micro : remarquez à quel point la trame de ce filtre était fine, comparée aux caractères affichés sur l’autre côté du verre. Fine, mais loin d’être imperceptible : ce traitement donnait l’impression que l’écran était recouvert par une fine couche de tissu, comme un collant en nylon, justement.

Apple Monitor III anti reflect coating 1980

Une couche anti-reflets qui imposait aussi des précautions toutes particulières lors du nettoyage de l’écran, comme l’indiquait le manuel utilisateur de ce Monitor ///. En cas de saleté trop incrustée, il fallait faire décaper l’écran par un technicien, puis poser un filtre neuf !

Monitor III user manual

Pour le reste, le Monitor /// était un écran monochrome (caractères verts sur fond noir) de 12 pouce de diagonales, particulièrement adapté à l’affichage de texte fixe en raison de son taux de rafraichissement anémique. Sa version de base atteignait une luminosité de 20 foot-lambert, soit environ 70 nits, comparés aux 1000 à 1600 nits du nouvel écran d’Apple.

Nous avons par ailleurs retrouvé un article de Computer World de mai 1982 annonçant une réduction de 22% du tarif de cet écran, qui passait de 320 à 249 dollars. Le prix de son pied (qui permettait de le poser au-dessus d’un Apple II plus étroit), lui restait inchangé à 29,95 dollars. Patience, donc. Le prix du Pro Display XDR finira bien par baisser à son tour !

Un ordinateur Apple blindé sur eBay

Difficile de deviner quelle machine Apple se cache sous cet étrange modèle mis en vente depuis quelques jours sur eBay, au prix un peu astronomique de 30,000 dollars…

ValueTec Tempest 2900T MAcintosh

D’après le vendeur, cette machine porte le doux nom de Tempest 2900T. Tempest, c’est le nom de code d’une norme développée par la NSA (l’Agence Nationale de Sécurité américaine) pour contenir les émissions électromagnétiques d’un appareil électronique, et empêcher son espionnage à distance par interception de ces ondes. La machine d’origine est donc totalement revue, pour offrir un blindage de chacun de ses composants susceptibles d’être espionnés : l’écran bien sûr, mais aussi les lecteurs de disquettes, le clavier et les câbles. C’est donc une liaison par fibre optique qui permettait de relier cette machine à un réseau AppleTalk ou à l’imprimante ImageWriter, elle aussi modifiée pour accueillir une telle connexion. À l’issue d’une phase de test, cette machine aurait dû obtenir une certification de la NSA, lui ouvrant les portes de marchés militaires ou administratifs sensibles. Le vendeur d’eBay précise que cette étape n’avait pas été achevée, la machine était donc restée au stade du prototype.

ValueTec Tempest 2900T MAcintosh

ValuTec, l’assembleur de cette machine, était une entreprise basée à Reston en Virginie, dont la production est restée confidentielle. Nous avons par exemple retrouvé une publicité très sobre pour son système de fax sécurisé. Son nom est maintenant lié à une entreprise de l’Indiana, créée en 1993. On trouve peu de traces de cette ordinateur Tempest 2900T : comme souvent, Google Books n’en a gardé que quelques lignes ici ou .

Mais la grande question que pose cette machine est la suivante : s’agit-il d’un Lisa, comme l’agencement général peut le laisser penser, ou d’un Macintosh, comme d’autres indices le suggèrent ? En effet, le format global est celui du Lisa, et le clavier lui est en tous points semblable. La souris permettrait de les départager facilement, mais elle a été remplacée ici par un trackball. Le clavier présenté peut donc être celui du Lisa, mais aussi un clavier de Macintosh auquel on aurait greffé un pavé numérique optionnel. L’auteur précise que l’écran est un modèle 9 pouces : s’agit-il de la diagonale visible, proche de celle du Lisa, ou de la diagonale du tube, comme celui du Macintosh ? Et rien ne dit que l’écran soit celui directement ponctionné sur l’ordinateur d’origine.

ValueTec Tempest 2900T MAcintosh

Le vendeur précise encore que la disquette de test correspond à celle du Macintosh 512k. Mais là encore, un Lisa modifié en Macintosh XL se comporte comme un Macintosh 512k, grâce à l’émulateur MacWorks. De notre côté, nous penchons quand-même pour l’hypothèse du Macintosh : l’électronique embarquée dans ce Tempest 2900T occupe peu de place comparativement à ce qu’elle occupait dans un Lisa. Il paraît plus probable que les blindages cachent la petite carte-mère du Macintosh, plutôt que sa grande-sœur du Lisa. Par ailleurs, une photo précise que l’alimentation du Tempest 2900T consomme jusqu’à 60W : c’est ce que consommait le Macintosh. Le Lisa, lui, nécessitait une alimentation de 150W.

Brochure : the Apple way

Après la fiche technique de la mise à niveau du Macintosh Plus diffusée avant-hier, voici une brochure plutôt bien pensée. Ou plutôt, une enveloppe de brochure. Car peu importe le contenu : toute l’imagination des commerciaux réside dans l’enveloppe qui protège le dépliant. Il y est écrit, tout simplement : « Peu importe ce que vous ferez de cette brochure, vous le ferez à la manière Apple », avec deux flèches, l’une menant vers la Corbeille, et l’autre vers le menu « Ouvrir ». On était en janvier 1993, et la filiale anglaise d’Apple rappelait ainsi l’origine de ces éléments d’interface que Microsoft peinait encore à imiter avec Windows 3.

Brochure 1993 d'Apple : the Apple way

Une publicité (mensongère) pour le QuickTake 100

Connaissez-vous le QuickTake 100 ? Il s’agit du premier appareil photo numérique d’Apple, mais également du premier appareil photo numérique grand-public. Dans ce domaine, Apple avait réellement un coup d’avance, qu’elle a rapidement perdu ensuite.

Voici une publicité américaine pour cet appareil, « qui rend plus beau tout ce que vous faites ». Pour illustrer ce slogan, on voit un QuickTake prendre une scène en photo, scène qui est utilisée pour illustrer une brochure reproduite en haut de la page. Apple promet une image en « couleurs vives 24-bits » en quelques minutes, sans pellicule et sans attente.

Apple QuickTake 100 ad from 1984

Pour ce qui est de l’absence de pellicule et de la rapidité du machin, pas de soucis. Mais pour les couleurs vives, on a quand-même une objection à présenter. Faute de poteries antiques, nous avons pris un pommier en photo, à la lumière du soleil couchant. Même en poussant un peu la saturation, pas sûr qu’on s’en servirait pour illustrer un catalogue de vente… Et la photo est présentée ici dans sa résolution maximale : 640 x 480 pixels !

Apple QuickTake photo

Ce menu du Finder n’a servi à rien durant quinze ans !

Parmi les grandes nouveautés du Macintosh présenté en 1984, la possibilité d’annuler la dernière action n’était pas la moins innovante. Apple insistait d’ailleurs sur la nécessité d’intégrer une telle fonction dans les logiciels créés pour le Macintosh, comme nous l’avions lu dans un précédent article consacré à un livre d’introduction à la programmation sur Macintosh.

Pourtant, Apple a privé son Finder d’une telle possibilité durant plus de quinze ans ! Il a fallu attendre les premières versions de Mac OS X pour qu’il devienne possible d’annuler la suppression, le déplacement ou la copie d’un fichier !

Finder Mac OS X - Annuler la dernière action
Mac OS X en 2001…
MacOS X annuler
Mac OS X en 2018 !

De 1984 à 2001, les utilisateurs de Mac n’ont jamais pu bénéficier d’une telle fonction, dont on imagine bien qu’elle n’aurait pourtant pas été très compliquée à implémenter… Le menu était bien là, mais il était perpétuellement grisé, même après une copie ou un déplacement de fichier.

MacOS System 7 Cancel Menu
Pendant plus de quinze ans, le menu “Annuler” n’a servi à rien !

Pour les nostalgiques de Mac OS 9 (mais existent-ils vraiment ?), souvenez-vous également qu’il a fallu attendre Mac OS X pour pouvoir couper un fichier ou un dossier, pour le coller ailleurs ! Avant 2001, les utilisateurs de Macs étaient contraints de déplacer le fichier avec la souris entre deux fenêtres ouvertes au préalable !

Une souris de Lisa pour l’Apple IIe ?

On connaît bien la souris de l’Apple IIc, un clone de la souris du Macintosh apparu quatre mois plus tôt. Mais on connaît moins la souris de l’Apple IIe, en tout cas celle qui est vantée dans la brochure que nous vous présentons aujourd’hui. Il semble bien qu’il s’agisse d’une souris de Lisa, ce qui est étonnant puisque la souris Apple IIe, connue sous la référence A2M2050, était identique à celle de l’Apple IIc, comme on peut le voir sur cette enchère terminée

Apple IIe IIc mouse

Apple IIe IIc mouse

Alors, simple erreur de la personne en charge de préparer la photographie, ou véritable changement technologique de dernière minute ? Si vous avez eu l’occasion de voir une souris de Lisa connectée à un Apple IIe, racontez-nous ça en réagissant à l’article !

Le bricolage des premiers périphériques pour Macintosh

On l’a un peu oublié, mais les premiers Macs, malgré leur conception totalement fermée, avaient vu naître tout un marché d’extensions diverses et variées. Nous avons par exemple déjà parlé de l’HyperDrive, ce disque dur interne dédié au Macintosh 512 et au Macintosh Plus. Voici un autre exemple, avec ces écrans externes cités dans la revue L’Ordinateur Individuel de janvier 1987.

FPD MégaScreen Ecran Géant

Pour concevoir un écran capable d’étendre la surface d’affichage du Macintosh Plus, ce sont des grands noms du développement du Mac qui s’étaient mis à la tâche : Handy Hertzfeld, Burell Smith et Alan Rossman. Les deux premiers apparaissent d’ailleurs dans une vidéo interne dont nous vous avons parlé il y a quelques mois, preuve de leur implication dans le développement du premier Macintosh.

Cet écran dénommé FPD (pour Full Page Display, ou écran pleine page) offrait une résolution de 640 x 864 points et s’installait au moyen d’une carte qui venait se greffer directement au-dessus du processeur. Le site CultOfMac en a d’ailleurs conservé une publicité d’époque :

Radius Full Page Display ad

Pour fabriquer cet écran, ces anciens d’Apple avaient fondé l’entreprise Radius en mars 1986. Elle fabriquera de nombreuses extensions pour les Macs, et même des clones à partir de 1995, avant de se faire racheter en 1998.

Un autre exemple de bricolage est donné par le ThunderScan II. Imaginez plutôt : pour offrir au Mac 512 la possibilité de numériser des documents, le constructeur Thunderware avait imaginé un système optique qui prenait la place du ruban d’impression de l’imprimante ImageWriter. Alimenté par le port série qui délivraient du 5 volts sur cet ordinateur (ou par une alimentation externe à partir du Mac Plus), ce système numérisait des images jusqu’à 288 points par pouces. Animé par le moteur de cette imprimante matricielle, il était évidemment particulièrement lent : en ne numérisant qu’une ligne à chaque passage, il fallait compter jusqu’à une heure pour numériser une feuille A4 ! On en trouve parfois en vente sur eBay, comme ce modèle complet, dans son carton, pour 150 dollars.

ThunderScan II box

Andy Hertzfeld (encore lui !) se souvient sur son site Folklore.org de la naissance de ce produit, dont il avait été chargé de créer la partie logicielle. Il raconte notamment comment l’équipe avait contourné les problèmes liés à l’imprimante elle-même, conçue pour déplacer le papier par à-coups de 9 lignes (correspondant aux 9 têtes de frappe), quand le scanner ne devait se déplacer que de ligne en ligne. Il se souvient également de l’influence du travail de Bill Atkinson, le papa d’HyperCard et de MacPaint, qui était devenu un expert dans l’art d’afficher des images sur un écran en noir et blanc. Il révèle même qu’environ 100.000 scanners ThunderScan ont été vendus, lui rapportant 7,50 dollars pièce.

Bon anniversaire, les Performa 200, 400 et 600 !

Le 14 septembre 1992, Apple lançait sa nouvelle gamme Performa, destinée au marché familial et éducatif, et vendus par les réseaux de grande distribution. Les ordinateurs ainsi dénommés (issus des gammes Quadra, Centris, LC ou Power Macintosh) disposaient de logiciels pré-installés et étaient souvent vendus prêts à l’emploi avec un écran.

Les premiers représentants de cette nouvelle sous-espèce étaient les Performas 200 (identique au Classic II), 400 (LC II) et 600 (Macintosh IIvx). Nous en avons dernièrement retrouvé la première brochure publicitaire.

Publicité – La gamme Apple baisse de prix

Le dimanche, c’est publicité ! Aujourd’hui, une publicité de 1993 pour la gamme Macintosh. « Comme on ne savait pas lequel vous aviez envie d’acheter, on a baissé le prix de tous nos Macintosh ». À l’époque, c’était simple : la gamme Apple, personne n’y comprenait rien. Il y avait les Classic, les LC, les Centris, les Quadra, les Performa, et les PowerBooks. À l’exception de ces derniers, la plupart des modèles existaient sous différents noms dans les diverses gammes, parfois dans différents pays…

On a baissé le prix de tous nos Macintosh